Fausser les cartes
Une araignée musifolle, par mon chant,
attirée,
De mes cheveux, quelques
filassements s'empara.
Des cornades tressa,
Entre deux brancarches tendit.
Au son du luth, impromptuvisé,
Au son du luth, impromptuvisé,
Ma chantierson accompagna.
Abeilles et frelons, trompés par cet
air au relent de contrefiture,
S'engluèrent, privésonniers.
Mon accompagnatrice, promptitudement,
Sitôt, en tourtinade, les consomma.
Attristée, mon chant, mélancolèrique,
Devint.
Derechef, nouveau piètementge,
La cruautelle arachnide, tissa.
En vain, attendit proies fadociles.
Mon chant, racontait la tristanstoire,
Quelle belle histoire...on se laisse bercer et prendre...
RépondreSupprimer(mais pas engluer...;-) par ces mots bien trouvés...
Un régal! Merci!!!
RépondreSupprimerJe suis delavenue trop palasseresseuse pour partibienciper...
Câlinsss!!!
C'est tellement bien détroussé !
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