Je reste là, à loucher sur ce maudit téléphone.
Je me demande ce que tu fais.
J’ai la culture du mystère,
mais pas à ce point, quand même…
mais pas à ce point, quand même…
Je respecte ta liberté, mais toi, me respectes-tu ?
Tu dois être en train de terminer ton banquet de fin de stage,
en rigolant avec tes potes pendant que je me morfonds.
Ne sais-tu pas que j’ai besoin d’espoir, pour vivre ?
Tout vole en éclat
quand ton silence explose dans ma tête,
assourdissant.
Qu’est-ce que j’ai fait ?
J’ai tellement besoin de tes mots…de ta tendresse…
Tellement besoin de me sentir importante à tes yeux…
Je n’aime pas quand tu deviens inaccessible.
.
.
Et moi j'ai pas droit à un p'tit commentaire ? :-)
RépondreSupprimerAh mais si...:-)
SupprimerN'y aurait-il que des "ours" sur ce blog, qui te délaissent ou
t'ignorent délibérément...je ne peux le croire !
Merci Célestine d'avoir initié le jeu de décembre...
avec un texte plein de sensibilité et de finesse...
On aurait presque envie...
de te passer un coup de fil ! :-)
C'est gentil...j'avais un petit coup de blues, ça a dû leur faire peur !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆