La lune miroitait sur le lac.
- Zut ! se dit Albert,
elle aurait mieux fait de se voiler, celle-là !
Les pélicans cancaneurs n'en avaient cure.
Albert vérifia une ultime fois tout son matériel
en suçant sa dernière pastille vichy.
Un plouf se fit entendre,
faisant s'envoler les grands oiseaux.
cet affreux corniaud de basse extraction.
Il ne payait vraiment pas de mine,
mais ses qualités de rapporteur
n'étaient plus à prouver.
Albert était sûr de l'endroit,
mais pas vraiment de son chien...
et s'assit sans mot dire.
Albert sortit la caméra de réserve,
contempla le soleil qui venait de se lever,
les oiseaux blancs qui se posaient au loin,
son chien qui s'ébrouait sur la rive...
et il se dit que, viré ou pas,
un jour, il reviendrait.
Auteur(e)s :
Adrienne, Bizak, Célestine,
Eeguab, Jacou, La Licorne
- Zut ! se dit Albert,
elle aurait mieux fait de se voiler, celle-là !
Les pélicans cancaneurs n'en avaient cure.
Albert vérifia une ultime fois tout son matériel
en suçant sa dernière pastille vichy.
Un plouf se fit entendre,
faisant s'envoler les grands oiseaux.
Son chien venait de se jeter à l'eau.
Il n'avait pourtant rien d'un labrador,cet affreux corniaud de basse extraction.
Il ne payait vraiment pas de mine,
mais ses qualités de rapporteur
n'étaient plus à prouver.
Albert était sûr de l'endroit,
mais pas vraiment de son chien...
C'était la première fois qu'il l'emmenait avec lui
sur un tournage animalier...et il le regrettait déjà !
Plongé dans ses sombres pensées,
il ne fit pas attention à la barque se dirigeant vers lui.
Le réalisateur fonçait sur lui caméra au poing,
avec un air furieux...
il finit néanmoins par se calmersur un tournage animalier...et il le regrettait déjà !
Plongé dans ses sombres pensées,
il ne fit pas attention à la barque se dirigeant vers lui.
Le réalisateur fonçait sur lui caméra au poing,
avec un air furieux...
Il était poursuivi par un alligator affamé
qui devait jouer les seconds rôles !
D'un coup, tout se précipita :
les barques se heurtèrent ...le chien aboya...
le réalisateur, surpris, se retourna
et sa caméra tomba droit
dans la gueule ouverte
du monstre aux dents longues...
- Mille sabords... tonnerre de Brest !
c'est quoi ce grabuge ? cria Albert,
en crachant un petit bout restant
de sa dernière pastille Vichy.
Il tourna les yeux vers l'alligator :
celui-ci, aux prises avec quinze kilos de métal,
était en train de s'étouffer.
- Hi, hi, hi ricanait le chien,
t'es dans de beaux draps, maintenant.
- Nom d'un pélican ! Ma caméra !
Vous êtes viré, bougre d'andouille !
s'époumonait le réalisateur.
Dépassé par la situation,
qui devait jouer les seconds rôles !
D'un coup, tout se précipita :
les barques se heurtèrent ...le chien aboya...
le réalisateur, surpris, se retourna
et sa caméra tomba droit
dans la gueule ouverte
du monstre aux dents longues...
- Mille sabords... tonnerre de Brest !
c'est quoi ce grabuge ? cria Albert,
en crachant un petit bout restant
de sa dernière pastille Vichy.
Il tourna les yeux vers l'alligator :
celui-ci, aux prises avec quinze kilos de métal,
était en train de s'étouffer.
- Hi, hi, hi ricanait le chien,
t'es dans de beaux draps, maintenant.
- Nom d'un pélican ! Ma caméra !
Vous êtes viré, bougre d'andouille !
s'époumonait le réalisateur.
Dépassé par la situation,
et s'assit sans mot dire.
Albert sortit la caméra de réserve,
contempla le soleil qui venait de se lever,
les oiseaux blancs qui se posaient au loin,
son chien qui s'ébrouait sur la rive...
et il se dit que, viré ou pas,
un jour, il reviendrait.
.
FIN
.
Auteur(e)s :
Adrienne, Bizak, Célestine,
Eeguab, Jacou, La Licorne
B1
RépondreSupprimer- Zut! se dit Albert, elle aurait mieux fait de se voiler, celle-là!
B2/ Les pélicans cancaneurs n'en avaient cure.
RépondreSupprimerJe pense que les phrases gagneraient à être resserrées. Ca donnerait plus de rythme car dans ce jeu ce qui compte c'est l'assemblage, me semble-t-il. En tout cas ça marche bien. A bientôt.
B3
RépondreSupprimerAlbert vérifia une ultime fois tout son matériel en suçant sa dernière pastille vichy.
B4 Un plouf se fit entendre, faisant s'envoler les grands oiseaux.
RépondreSupprimerTrès bon départ...
RépondreSupprimerQue fait Albert sur le lac ?
j'ai ma petite idée...:-)
mais je vous laisse continuer...
Mais si personne ne s'y colle...je vais ajouter :
RépondreSupprimerB5 - Son chien venait de se jeter à l'eau.
B6-Il n'avait pourtant rien d'un labrador, cet affreux corniaud de basse extraction.
RépondreSupprimerB7 - Il ne payait vraiment pas de mine,
RépondreSupprimermais ses qualités de rapporteur n'étaient plus à prouver.
B8 - Albert était sûr de l'endroit, mais pas vraiment de son chien...
RépondreSupprimerB9- C'était la première fois qu'il l'emmenait avec lui sur un tournage animalier...et il le regrettait déjà !
RépondreSupprimerB10- Plongé dans ses sombres pensées, il ne fit pas attention à la barque se dirigeant vers lui.
RépondreSupprimerB-11 Le réalisateur fonçait sur lui caméra au poing, avec un air furieux...
RépondreSupprimer:-)
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=Rdn0bYVw8FI
Il était poursuivi par un alligator affamé qui devait jouer les seconds rôles!
RépondreSupprimerJ'ai omis d'inscrire le Numéro de la phrase
SupprimerA-12 Il était poursuivi par un alligator affamé qui devait jouer les seconds rôles!
...ah, je dois avouer que le coup de l'alligator...je ne m'y attendais pas !
SupprimerEt Bizak, faut suivre...on en est au texte B ! :-)
Pardon : B-12 Il était poursuivi par un alligator affamé qui devait jouer les seconds rôles!
SupprimerB13 - D'un coup, tout se précipita : les barques se heurtèrent ...
RépondreSupprimerle chien aboya...le réalisateur surpris se retourna et sa caméra tomba droit
dans la gueule ouverte du monstre aux dents longues...
B-14 Mille sabords tonnerre de Brest ! c'est quoi ce grabuge, cria Albert, en crachant un petit bout restant de sa dernière pastille Vichy.
RépondreSupprimerB15 - Il tourna les yeux vers l'alligator :
RépondreSupprimercelui-ci, aux prises avec quinze kilos de métal
était en train de s'étouffer.
B16- Hi, hi, hi ricanait le chien, t'es dans de beaux draps, maintenant.
RépondreSupprimerB17 - Oh, toi le cabot, tu ne perds rien pour attendre
RépondreSupprimeret tu ferais mieux de rapporter cette caméra au réalisateur
avant qu'il ne te transforme en chair à pâté !
Ok! patron, mais tu me promets de me retaper ma niche à la maison et me laisser m'accointer avec ma belle voisine Luna.
RépondreSupprimerExcuse-moi La licorne: c'est la phrase B-18. Précision: Luna est le nom d'un caniche
SupprimerBizak, désolée, je ne peux pas prendre ta phrase...car le chien parlait à l'alligator (en langue animale, je suppose ! ;-), et ensuite c'est l'alligator qui lui répond...et pas son maître Albert !
RépondreSupprimerIl y a peu d'alligators, à ma connaissance, qui retapent les niches ! :-)
Quoique...
RépondreSupprimeril y a bien des Licornes qui écrivent ! :-D
Et en relisant, j'ai un petit doute : Jacou pourrait-elle nous dire à qui s'adresse le chien ? Qui est "dans de beaux draps" : Albert ? Ou l'alligator qui s'étouffe ?
Même si le chien s'adressait à l"alligator, j'imagine mal, que ce dernier puisse lui répondre avec quinze kilos de métal dans sa gueule et qui l'étouffaient.
SupprimerJ'avais pensé en B17 que c'était Albert qui s'adressait à son chien qui ricanait(en B16). Ce dernier , c'est à dire le chien lui répond en B18.
Eh! ben La licorne, tu vois ce qui peut bien être arrangé, avant que l'alligator reprennes son souffle, hi!hi!
Coucou, pour moi, le chien parle à Albert.
SupprimerOK, on recommence, alors !
SupprimerJusque-là, je trouvais que ce texte avançait "comme sur des roulettes"...trop facilement peut-être...:-)
RépondreSupprimerfallait bien qu'il y ait , à un moment donné un petit "hic" pour mettre de l'ambiance ! ;-)
Tu as tout à fait raison, bizak, quant au "discours" de l'alligator, mais au pays des chiens qui "parlent", je m'imaginais un dialogue un peu "télépathique" entre animaux, si tu vois ce que je veux dire...
Et comme je n'avais pas précisé qui répondait, je comprends que tu aies pensé que c'était Albert...
Bon, tout compte fait, le plus simple est que je retire ma dernière phrase (B17) et qu'on reparte sur quelque chose de "plus clair"...dès que jacou nous aura dit à qui s'adresse le chien...!
Jacou ayant précisé que le chien s'adresse à ..Albert, je remplace la phrase B17 par :
RépondreSupprimer- Nom d'un pélican ! Ma caméra !
Vous êtes viré, bougre d'andouille !
s'époumonait le réalisateur.
B18: Le réalisateur ne comprenant rien à la situation, fit un un bras d'honneur à Albert et s'assit sans mot dire.
RépondreSupprimerAaaaaaaah...bizak !
RépondreSupprimerJe t'êêêêêêême...!!!!!!!!
Comment vais-je faire pour apposer deux fois de suite "le réalisateur"...et puis, je te rappelle que le mec en colère, il est dans une barque et qu'il m'étonnerait fort qu'il soit...debout...
De plus, le bras d'honneur, me semble-t-il... ne rajoute pas grand-chose à la situation...et comme il ne reste plus que trois phrases pour s'en sortir...dignement...je déclare que toute personne gaspillant les phrases sera immédiatement jetée dans la gueule de l'alligator affamé !!! ;-)
Il fallait bien qu'il bouge le mammouth, sinon la fin du récit va s'éterniser,et l'alligator serait mort et immergé.
SupprimerJe sais bien que c'est toi qui nous a amené l'alligator et que tu le portes sûrement dans ton coeur...;-), mais son sort, vois-tu, nous intéresse moins que celui d'Albert...
SupprimerQue va faire Albert ? Que va-t-il dire ou penser ?
That's the question...
Et si, dans la mesure du possible, on pouvait éviter les "accointances" et les "bras d'honneur"...gratuits, ça m'arrangerait bien !
Un peu de tenue sur ce blog, Tonnerre de Brest !!! ;-)))
Mais Albert et le réalisateur ne sont pas le même personnage, non?
SupprimerNon, puisque le deuxième fonce avec sa barque sur le premier...
RépondreSupprimerEt si on mettait :
"Dépassé par la situation, il finit néanmoins par se calmer et s'assit sans mot dire." ?
(sans maudire ? ;-)
Oui,d'accord et pour le B19:
Supprimer"Albert avec un soulagement, voyait arriver la deuxième caméra de réserve, et cela a permis de filmer quelques séquences premières prévues..
Règle number Two :
Supprimer***on peut pas proposer deux phrases de suite***
Je sens que je vais me faire lyncher...
je me sauve !!!!!!!
Tu prends la première phrase, sans te faire lyncher!
SupprimerPeux pas.
RépondreSupprimerB18 étant de toi...j'attends quelqu'un d'autre pour B19...
Aïe ! :-)))
Allez, zou, j'termine et on n'en parle plus !
SupprimerB19 - Albert sortit la caméra de réserve, contempla le soleil qui venait de se lever, les pélicans qui se posaient au loin, son chien qui s'ébrouait sur la rive...et il se dit que, viré ou pas, un jour, il reviendrait.
Point final
C'est joli quand même comme conclusion, après toutes les péripéties de choc, de noyade, d'engloutissement de caméra par l'alligator. Bravo La Licorne, ainsi qu'à tous les participants(tes). Bon week end
SupprimerC'est toi qui a calmé le jeu...en faisant taire le réalisateur... :-)
RépondreSupprimerOui, merci à tous...et très bon week-end !
Je suis assez contente de ce deuxième texte...et je sens que le troisième sera meilleur encore !