La voiture fonçait dans la nuit.
Quelques kilomètres, encore,
la liberté serait au bout du tunnel.
Pourtant elle savait que certaines sorties
pouvaient s'avérer décevantes
et déboucher sur un inconnu troublant.
sa décision était irrévocable,
car c'était une question de survie.
S'il arrivait à la retrouver,
Auteur(e)s :
Adrienne, Andiamo, Bizak,
Célestine, Eeguab,
Jacou, La Licorne, Valentyne
.
Quelques kilomètres, encore,
la liberté serait au bout du tunnel.
Pourtant elle savait que certaines sorties
pouvaient s'avérer décevantes
et déboucher sur un inconnu troublant.
Qu'allait-elle faire dans ce nouveau pays ?
Malgré ses appréhensions,sa décision était irrévocable,
car c'était une question de survie.
S'il arrivait à la retrouver,
Marco ne lui ferait pas de cadeau.
Elle se remémorait, les promesses qu'il lui avait faites
avant qu'elle ne le rencontre en Colombie...
elle n'avait jamais pu croire
qu'il était le N°2 du cartel de la drogue.
A l'époque, il était, tout simplement,
un beau brun qui lui contait fleurette sur internet.
A minuit trente, elle passa la frontière et se retrouva en Italie,
et il lui sembla soudain qu'elle respirait mieux...
Elle prit la direction de Milan et alluma la radio.
A minuit trente deux, le flash spécial lui apprit
le coup de filet fait par Interpol :
une des complices était toujours activement recherchée.
On la décrivait ainsi : Erika Wals - 29 ans -
cheveux très longs, châtain clair - yeux verts -
signe particulier :
tatouage en forme de M majuscule
sur le poignet gauche.
L'éblouissant, une voiture, pleins phares,
se rapprochait.
Polizia !
Elle se rangea sur le côté
et eut à peine quelques secondes
pour cacher ses yeux derrière des lunettes,
attacher ses cheveux et tirer la manche de son pull
sur son poignet.
Elle se remémorait, les promesses qu'il lui avait faites
avant qu'elle ne le rencontre en Colombie...
elle n'avait jamais pu croire
qu'il était le N°2 du cartel de la drogue.
A l'époque, il était, tout simplement,
un beau brun qui lui contait fleurette sur internet.
A minuit trente, elle passa la frontière et se retrouva en Italie,
et il lui sembla soudain qu'elle respirait mieux...
Elle prit la direction de Milan et alluma la radio.
A minuit trente deux, le flash spécial lui apprit
le coup de filet fait par Interpol :
une des complices était toujours activement recherchée.
On la décrivait ainsi : Erika Wals - 29 ans -
cheveux très longs, châtain clair - yeux verts -
signe particulier :
tatouage en forme de M majuscule
sur le poignet gauche.
se rapprochait.
Polizia !
Elle se rangea sur le côté
et eut à peine quelques secondes
pour cacher ses yeux derrière des lunettes,
attacher ses cheveux et tirer la manche de son pull
sur son poignet.
Il s'agissait maintenant
de présenter avec aplomb les faux papiers :
son sourire charmeur et quelques mots d'italien
feraient peut-être succomber les deux hommes...
Le premier examina sa voiture,
le deuxième regarda longuement sa photo
et lui demanda où elle allait.
.de présenter avec aplomb les faux papiers :
son sourire charmeur et quelques mots d'italien
feraient peut-être succomber les deux hommes...
Le premier examina sa voiture,
le deuxième regarda longuement sa photo
et lui demanda où elle allait.
- Prego signori il Duomo per favor ?
Tout en posant cette question, elle croisa ses jambes,
et le chuintement de la soie
ajouté à la remontée de sa jupe "a minima",
tourneboula le carbinieri,
qui, penché à la portière, eût du mal à déglutir.
Bouche bée, le policier,
malgré son air débile et un po'lascivo,
n'en faisait pas moins fonctionner ses méninges.
- Si-gno-ra Wals ?
articula-t-il en apercevant le zigzag
qui courait sur son avant-bras
légèrement découvert.
Mais ce n'est qu'au moment
où il souleva sa visière,
qu' Erika, enfin, le reconnut :
Marco !
C'était Marco !
FIN
Tout en posant cette question, elle croisa ses jambes,
et le chuintement de la soie
ajouté à la remontée de sa jupe "a minima",
tourneboula le carbinieri,
qui, penché à la portière, eût du mal à déglutir.
Bouche bée, le policier,
malgré son air débile et un po'lascivo,
n'en faisait pas moins fonctionner ses méninges.
- Si-gno-ra Wals ?
articula-t-il en apercevant le zigzag
qui courait sur son avant-bras
légèrement découvert.
Mais ce n'est qu'au moment
où il souleva sa visière,
qu' Erika, enfin, le reconnut :
Marco !
C'était Marco !
FIN
Auteur(e)s :
Adrienne, Andiamo, Bizak,
Célestine, Eeguab,
Jacou, La Licorne, Valentyne
.
Le texte B n'est pas tout à fait terminé...mais comme les dernières phrases sont en général les plus difficiles à trouver...je vous lance déjà le texte C, pour qu'il n'y ait pas de "blanc"...
RépondreSupprimerC'est parti !
C1- Quelques kilomètres, encore, la liberté serait au bout du tunel.
RépondreSupprimerC2- Pourtant elle savait que certaines sorties pouvaient s'avérer décevantes et déboucher sur un inconnu troublant.
RépondreSupprimerC3- Qu'allait-elle faire dans ce nouveau pays ?
RépondreSupprimerC4- Malgré ses appréhensions, sa décision était irrévocable, car c'était une question de survie.
RépondreSupprimerC5- S'il arrivait à la retrouver, Marco ne lui ferait pas de cadeau.
RépondreSupprimerC6- Elle se remémorait, les promesses que Marco lui avait faites avant de le rencontrer en Colombie et elle n'avait jamais pu croire qu'il était le N°2 du cartel de la drogue.
RépondreSupprimerC7- A l'époque, il était, tout simplement, un beau brun qui lui contait fleurette sur internet.
RépondreSupprimerC8- A minuit trente, elle passa la frontière et se retrouva en Italie, et il lui sembla soudain qu'elle respirait mieux...
RépondreSupprimerC9- Elle prit la direction de Milan et alluma la radio.
RépondreSupprimerC10 A minuit trente deux, le flash spécial lui apprit le coup de filet fait par Interpol. Une des complices était toujours activement recherchée.
RépondreSupprimerMerci, Valentyne, de te joindre à nous...
SupprimerElle avance, elle avance cette histoire :-)
Le suspense est tangible...
C11- On la décrivait ainsi : Erika Wals - 29 ans -
RépondreSupprimercheveux très longs, châtain clair - yeux verts -
un tatouage en forme de M majuscule sur le poignet gauche.
C12-L'éblouissant, une voiture, pleins phares, se rapprochait.
RépondreSupprimerC13 - Polizia ! Elle se rangea sur le côté et eut à peine quelques secondes pour cacher ses yeux derrière des lunettes, attacher ses cheveux et tirer la manche de son pull sur son poignet.
RépondreSupprimerC14
RépondreSupprimerIl s'agissait maintenant de présenter avec aplomb les faux papiers: son sourire charmeur et quelques mots d'italien feraient peut-être succomber les deux hommes...
Super, Adrienne !
SupprimerEt là, ben...je suis bien embêtée...je ne parle pas un mot d'italien !!! ;-))
C15 - Le premier examina sa voiture, le deuxième regarda longuement sa photo et lui demanda où elle allait.
RépondreSupprimerLes "carabinieri" louchaient sérieusement sur son décolleté "Lollobrigidatesque", c'est gagné pensa in petto Erika.
RépondreSupprimerElle connaissait bien les hommes, depuis ses 15 ans elle avait déroulé du câble comme on dit un peu vulgairement, et dans le regard de ceux ci, elle vit autre chose que le sens du devoir ! Uniformes ou pas, elle en faisait son affaire, et avant même qu'ils ne posât une question, elle les pris de court.
Prego signnri il Duomo per favor ? Pendant qu'elle posait cette question, elle croisa ses jambes, le chuintement de la soie ajouté à la remontée de sa jupe "à minima", finit de tournebouler Aldo, qui penché à la portière eût du mal à déglutir.
- Si, si signorina, prima strada all' sinistre..
- Grazie chicho...
Et sur ce, elle embraya, adressant un petit signe de la main par la vitre restée baissée.
Va fan culo murmura t-elle pour sa satisfaction personnelle, et le petit signe de la main faillit se transformer en doigt d'honneur.
Ce soir elle boirait du "lacrima christi" en compagnie de Luigi, le cousin de Marco, qui lui avait certifié avoir abattu son cousin Marco, bien sûr elle devrait se farcir ce demi-sel quelques jours, Milano, Verone, Venezia, mais bon l'aventure promettait quelques sacrifices, et puis un accident est si vite arrivé avec tous ces petits ponts vénitiens...
Punto finale ?
Ah...Mamma mia !
RépondreSupprimerJe ne sais pas si on est dans "Basic Instinct", "Miss Italie" ou un nouveau polar, mais notre historiette plan-plan a soudain pris une tournure très "andiamesque"...et très italienne aussi...
J'attendais une petite phrase, une toute petite phrase...Andiamo...et je me retrouve avec une histoire complète !
J'avais oublié combien les gens du Sud sont...prolixes... ;-)
Que dois-je faire ?
Jeter par-dessus bord la règle de ce jeu...?
Cruel dilemme...
Allez, je prends la première phrase en italien...
RépondreSupprimerEt exceptionnellement (faveur toute spéciale, parce qu'on sait bien que le respect du règlement, en Italie...:-), la suivante...
SupprimerOn en est donc à C18...et il ne reste que trois phrases...pour sortir (ou pas) notre amie Erika du pétrin dans lequel nous l'avons mise...:-)
RépondreSupprimerC18- Bouche bée, le policier, malgré son air débile et un po'lascivo, n'en faisait pas moins fonctionner ses méninges de carabinieri.
RépondreSupprimerMerci jacou...je prends, mais j'enlève "de carabinieri", si ça ne t'embête pas (ça fait une répétition).
SupprimerC19- -Si-gno-ra Wals ? articula-t-il en apercevant le zigzag qui courait sur son avant-bras légèrement découvert.
RépondreSupprimerC20- Dans son dos,un coup de feu partit, Erika hurla "Marco!", et fut abattue, elle aussi.
RépondreSupprimerEh bé ! La chute n'est pas tendre...didonque !
SupprimerMais bon, là, pour être fini, c'est fini !
Tu vois c'est un "M" comme magnum, sur ce elle dégaina son Magnum 9 millimètres Parabellum, et logea deux bastos une pour chaque carabinière, et ce au milieu du front... Le troisième œil en somme !
RépondreSupprimerUne hécatombe, que vous me proposez, tous les deux !!!
SupprimerTout compte fait, je me dis que le "lacrima christi" à Venise, c'était pas si mal...;-)
On aurait pu trouver moins sanglant et plus original, du style :
SupprimerMais elle n'eut pas à répondre car le deuxième policier braqua soudain son arme sur son collègue et souleva sa casquette avec un sourire : "Marco!"
Enfin, j'ai écrit l'avant-dernière phrase, je n'ai pas le droit de terminer...
Mais vous, les zamis, z'auriez pas une idée moins...radicale ?
(sinon je sens que chaque fois qu'on est obligé de terminer une histoire un peu "vite", ça va se terminer en boucherie...ce qui ,entre nous, est une solution de facilité...j'attendais un peu plus "imaginatif" ! :-)
la nuit portant conseil...à moins que quelqu'un propose autre chose.
RépondreSupprimerPour le moment, je sèche.
On n'est vraiment pas pressés...
SupprimerEn tout cas, merci, jacou, pour ta participation très active...et pour toutes tes bonnes idées : l'exercice n'est vraiment pas facile et vous vous en tirez tous drôlement bien, je trouve !
J'espère que vous ne m'en voudrez pas , mais comme le début est plutôt très réussi, j'avais juste envie qu'on finisse également "en beauté" !
La visière relevée Erika n'eût aucune peine à reconnaître Marco, un sourire carnassier aux lèvres elle s'écria :
RépondreSupprimer- Maaarco vieni qui, amore... ANDIAMO !
:-))
SupprimerVoilà...c'est déjà mieux !
Un peu d'amour dans ce monde de brutes...c'est toujours bon à prendre !
J'ai publié...ce que j'ai pu !
Supprimer(étant donné le contexte)
Encore merci à tous, je suis toujours épatée par la tournure que prend le texte, phrase après phrase...écrire à plusieurs amène énormément de surprises et de rebondissements...et cela demande une grande capacité d'adaptation...capacité que vous possédez manifestement tous les 7 !
Bravo !
Bravo pour pour ce texte magnifique! je suis désolé la licorne de n'avoir pu suivre la suite du texte. Bise à toi.
RépondreSupprimerJe crois que tu avais bien "fait ta part" sur les textes précédents, bizak ! Alors, ne t'excuse pas...
SupprimerBon, je trouve, moi, que les textes, au "fil" des jours, sont de plus en plus intéressants et de mieux en mieux écrits !
Si vous vous améliorez à chaque fois, je ne sais pas ce que donnera le dernier ! (un p'tit "prix Goncourt ??? ;-)
Je suis partant pour le Goncourt!
SupprimerLe Gon"très-court" alors... :-)))
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