Madeleine, elle s'en fut
Madeleine, la voici revenue.
Ce temps, oublié,
Son corps, ses formes admirés.
De ma mémoire passée,
Le voici ressurgi,
Et saveur alanguie,
De ce petit biscuit,
A nouveau m'emplit.
Instants furtifs,
J'eus pu les croire perdus,
Discrets, s'imposent,
Et mon âme troublée,
Les recueille, apaisée.
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Très joli poème, très agréable à lire...On ne sait trop si tu parles du prénom d'une femme ou du biscuit de son enfance, et c'est ça qui fait tout le charme...
RépondreSupprimerOui c'est très joli ; moi je l'ai lu en pesant à un femme et à des retrouvailles !
RépondreSupprimer...en "pesant" ou "en pensant" ? :-))
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