En quarante mots...
Quarante jours qu’il pleut
sur le renard et le corbeau.
Ça s’arrête ?
Là-haut, monte une lune crémeuse.
Du bec du piaf tombe une graine lançant un surgeon,
racines fouillant l’humus
et branches montant au ciel.
Tout est à refaire.
sur le renard et le corbeau.
Ça s’arrête ?
Là-haut, monte une lune crémeuse.
Du bec du piaf tombe une graine lançant un surgeon,
racines fouillant l’humus
et branches montant au ciel.
Tout est à refaire.
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L’écrivain est juste derrière le corbeau et le renard,
qui chantent, enroués :
Si tu espères l’arc en ciel, tu dois accepter la pluie,
en essayant d’imiter Annette Hanshaw.
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Une morale dont on peut "prendre de la graine"... ! ;-)
RépondreSupprimerAh, ces deux-là (oiseau noir et rusé goupil)...
ils sont inusables...
incontournables... toujours là...
y compris pendant le déluge !
au début, j'étais parti sur 40 phrases et puis ça faisait beaucoup trop ! alors j'ai tenté la réduction drastique, et puis à force d'enlever des bouts et des morceaux, il est resté ce qu'il y a la au dessus :)
Supprimercomme la cigale et la fourmi ce sont les deux fables incontournables qui sont le plus détournées et avec bonheur ! avec le sourire
RépondreSupprimermerci Lilou ; j'ai joué aussi avec la cigale/fourmi et le loup/l'agneau, mais le corbeau et le renard ont ma préférence pour le détournement :)
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