Devant les quatre filles du Docteur, marche à l’ombre, sinon…
Ma plus belle conquête de l’air – Vogue 50’s
À ce guichet aux lumières solaires,
Toi, fille de l’air, uniforme blanc et noir,
Ma belle trentenaire, aux miroirs d’ombre claire,
À l’aire du temps, en appel d’air.
Tu la joues quatre contre un, moléculaire,
Comme les filles du Docteur March en quadrilatère,
Indomptables tempêtes et sœurs,
Chacune un feu, chacune une chaleur.
Alors, tu l’attends sous l’orage dans l’air,
Tes quatre sales caractères, sanguinaires,
Rouges de colère, tout feutres en l’air,
Pour changer d’air.
Un quadrilatère Chanel se déploie,
Et toi, en quadragénaire pas très net,
Tu ne la mettras plus en quatre pour cet enfer…
Cillent des mi-cils air-air, subliminaires en éclairs,
Nucléaires, transparents, épairs et frigidaires...
Alors tu n’iras plus à grand’erre !
(suite sur son blog,
cliquer sur le lien)
quelle imagination poétique je n'ai encore pas trouvé une entrée pour un texte mais cela va venir d'ici deux jours !
RépondreSupprimerLes filles ne manquent pas d' "air"...et ton texte non plus !
RépondreSupprimerAttention aux "mi-cils"...;-)
Toujours aussi créatif !
RépondreSupprimerEt là : «Cillent des mi-cils air-air » ce n'est pas mi-cils mi raisins , et on atteint des sommets !