A Copenhague tout semble simple et tranquille, autant
Batifoler dans les rues aux édifices harmonieux et
Couleur brique paraît relever d’un plaisir des yeux
Dont nul ne songe à s’éloigner sans nostalgie
Et grande envie d’en renouveler le spectacle, autant
Faire usage des divers modes de transport
Garantit des moments de pur bonheur mais loin de toute
Hystérie comme celles des prétendus supporters de l’Euro
Il est même très plaisant d’utiliser des escaliers roulants pour
Joyeusement atteindre le hall d’accès aux rames de métro
kaléidoscopiques, rames dont l’arrivée est annoncée par
Le doux chuintement des roues glissant sur les rails
Même par tous temps l’accès à ce métro est agréable
Non, pas d’odeur contrariante, une douce ambiance
Où chacun peut trouver place pour atteindre
Place de l’hôtel de ville, Christiansavhn, Tivoli et
Quantité d’autres lieux plaisants de découvertes,
Rencontres, dégustations en tous genres
Sans jamais craindre le contact avec une population
Très affable , dont le langage est accessible en
Utilisant l’écrit plus qu’à l’écoute du simple
Vocable en raison de syllabes légèrement mangées
Ah, quel bonheur , quels plaisirs ainsi partagés !
.
Je suis venue et revenue des jours durant, mais les textes de mes amis Petrus et Julien sont restés sans commentaires, ainsi que le beau poème que Bizak avait écrit pour moi. En toute sincérité, je suis déçue que tu n'aies pas posé au moins un petit mot d'accueil sur chacun d'eux, comme tu l'as fait pour Adrienne, Jacou et carnets paresseux...
RépondreSupprimerJ'accorde sans doute trop d'importance aux petites attentions...mais j'aime bien dire ce que j'ai sur le coeur. Voilà, c'est fait.
Amicalement
¸¸.•*¨*• ☆
Bonjour Célestine !
RépondreSupprimerJe comprends ta déception...mais je ne me sens pas vraiment responsable du fait que personne ne soit venu commenter...
Certes, je n'ai pas mis de mot d'accueil, mais il y a des tas de textes, sur ce blog, qui n'ont pas eu de 'mot d'accueil" et qui ont pourtant été abondamment commentés...
Ceci dit, je n'étais pas disponible du tout en cette fin juin, et je suis peu venue sur le blog...je suppose que je n'étais pas la seule dans ce cas...
C'est plutôt là que je vois le "problème"...si toutefois il y en a un !
(car mon poème non plus n'a guère été commenté, et je ne m'en offusque pas plus que ça...je sais qu'il y a des jours avec et des jours sans...)
Mais bon, si Petrus, Julien ou Bizak, pensent que je n'ai pas fait les choses "dans l'ordre", je tiens à m'en excuser...
Désolée, ce n'était absolument pas volontaire.
J'ai un travail, une famille, des soucis...un emploi du temps parfois chargé... et je ne suis pas parfaite...loin de là ! ;-)
Bises amicales.
Ah...et puis, je viens d'aller jeter un coup d'œil aux statistiques :
RépondreSupprimerce mois-ci, poème de Bizak a été visionné 184 fois
et les deux autres textes (Petrus et Julien) près de 70 fois
(c'est-à-dire bien plus souvent que la plupart des textes,
la moyenne tournant autour de 40 ou 50 !)
Il ne faut pas se fier aux apparences... :-)
Bon rien de grave.
RépondreSupprimerJ'ai l'habitude d'être sincère. J'espère que tu ne m'en veux pas. Mais je persiste à penser qu'un petit mot de la part de la "patronne" même un tout petit ça fait extrêmement plaisir. En tous cas c'est ma façon de faire, mais en tous cas je ne t'en veux pas si tu n'as pas la même.
Quant aux statistiques, c'est sûr que j'ai dû bien les faire monter, vu le nombre de fois où je suis allée guetter ton petit grain de sel ! Lol ! ^^
Allez, l'incident est clos de mon côté, chère Licorne.
Bises assertives
¸¸.•*¨*• ☆
Ah...et c'est également toi qui a relu 150 fois le poème de Bizak ? ;-)))
RépondreSupprimerBon cher Petrus, je te donne donc tardivement mon sentiment sur ton texte, en espérant que, comme le vin du même nom, celui-ci n'en soit que meilleur et plus savoureux : cette balade poétique à Copenhague m'a littéralement enchantée, me donnant presque l'envie d'aller y faire un tour, si mes vacances n'étaient pas, déjà, bien remplies...
je la trouve très bien écrite...
Je te souhaite la bienvenue sur ce blog et je serais ravie t'y revoir...si ma première "bévue" ne t'a pas trop blessé...
Tu as, en tout cas, une amie qui veille sur toi...avec attention ... :-)
Le poème de Bizak était tellement beau que j'ai certainement dû le relire un grand nombre de fois, oui.
RépondreSupprimerJe te remercie en tous cas d'avoir écrit ce petit commentaire pour Petrus, je ne sais pas s'il le verra, mais oui, il est vrai que mes lecteurs (dont toi) sont des gens importants pour moi. Et j'aurais fait la même chose pour toi.
Je ressens une pointe d'agacement de ta part, ce n'était vraiment pas mon but, j'espère que je me trompe.
Ce serait dommage, vraiment. Mais je sais que la sincérité est la base d'une amitié, même virtuelle.
n'hésite pas à me dire ce que tu ressens.
Belle journée chère collègue, et je sens que tu vas bien profiter de tes vacances.
Bises
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Je ne suis pas fâchée, rassure-toi, Célestine...notre amitié n'est pas en cause...
RépondreSupprimerTu me donnes même l'occasion de repréciser la façon dont je "fonctionne" habituellement...
En fait, dans la très grande majorité des cas, je réponds à l'auteur par un petit mot sympathique...mais par e-mail et non sur ce blog...
où je préfère laisser d'abord les visiteurs commenter avant de donner mon avis...
Sinon, je me sens un peu trop "omniprésente"...
Le "hic", c'est que, pour Petrus et Julien, il n'y a pas eu d'envoi e-mail...j'ai récupéré les deux textes dans tes commentaires...
Bon début d'été à toi aussi !
Bisous.
Je suis heureuse d'apprendre comment tu fonctionnes.
Supprimercela évite bien des malentendus finalement, de dire les choses.
Me voilà toute rassérénée. Mon tempérament hypersensible s'accommode mal des suppositions et des malentendus.
je t'envoie mon sonnet dès que possible.
Bises
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