Vingt-quatre heurts !
Une heure ou deux, et le troisième
à formuler un probable “je t’aime” ?
Trois, quatre et cinq
à voir en quoi je suis ornithorynque
(oui, j’en parlais encor, il y a peu)
Six, sept et huit
Ma sœur, ma sœur
sache comment mon cœur t’invite
Mon cœur t’invoque !
petite femme chaussée de breloques
A trois fois huit, c’est la minuit !
Et nous voilà, dans les bras l’Un de l’Autre
auprès du fleuve où l’on se vautre
et nous faisant tant de guilis
qu’en filigrane
même la fourmilière arbore ce panneau :
“En panne”
Il fait si bon être l’amant
(même pour quelque vingt-quatre heures)
dans la vie d’une femme
dont le sourire est un bonheur
et les soupirs, un feu brûlant
Une jolie déclaration, fort originale...
RépondreSupprimeret dans laquelle je n'ai pas vu le moindre "heurt"...!
Merci, Tiniak, pour cette participation ...
de la première heure ! ;-)
Les coups frappés au clocher, La Licorne; ding, dong :)
SupprimerEmbrassez-vous, embrasez-vous, qu'y disaient !
RépondreSupprimerLe finale est superbe !
Merci x10000, très cher Onc' Joe.
Supprimer(une suite publiée sur mon pseudo)
Je te prie donc d'ajouter celui-ci, Ma'ame Licorne ;)
RépondreSupprimerhttp://niak65poletique.canalblog.com/archives/2022/03/26/39405848.html
Sinon... Suis en train de lire "Crénom, Baudelaire" de Jean Teulé. Un régal !
RépondreSupprimer(lien sur mon pseudo)
Des bises avec.