Ni trop jeune, ni trop vieille,
Outrageuse pour certains,
Terriblement belle pour d’autres,
Romantique aux crépuscules
d’été,
Elégiaque aux aurores
d’hiver.
Dans la clarté de la lune
ronde,
Attendrissant les regards posés
sur elle,
Majestueuse, elle charme les cœurs
Et fascine les âmes sensibles,
Déroutées par tant de
beauté,
Enflammant panégyriques,
pamphlets et palabres !
Affriolante, pour les autres
séduisante, parfaite.
Rien ne la déstabilise, elle
reste droite,
Immuable,
Silencieuse.
Merci Mary pour ce joli poème, vantant les beautés de Notre-dame...
RépondreSupprimerComme le poème avait un "double sens" (on peut imaginer aussi qu'il s'adresse à une femme en chair et en os), je me suis permis de l'illustrer avec l'illustre...Esmeralda.
Oui le double sens est voulu...l'illustration est bien choisie. Superbe. Merci.
RépondreSupprimerOups...j ai oublié d écrire mon nom...
SupprimerJ'avais deviné que c'était toi...:-)
RépondreSupprimerSi l'image te convient, tu m'en vois ravie...
A la fois charmant et fluide, ton poème, j'aime beaucoup !
C'est le premier mot qui coûte...et après, ça vient...enfin, c'est souvent comme ça pour moi.
Oui ! C'est une reine !
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