Chère maîtresse à qui je dois la vie
Je saurai montrer ta valeur infinie
Je serai celui qui t’aimerait à vie
Contre vents et marées, mon égérie
Mon amour pour toi est considérable
Je prendrai soin de ton jardin paisible
Où ne poussent que les fleurs imaginables
Que Babylone en serait oubliable
Le ciel devrait t’applaudir chaque matin
Belle comme tu es, astre souverain
Resplendissant comme un clair de lune
Telle une majesté, cheveux au vent
Tu sillonnes les mers au gré du beau temps
Pour le plaisir des marins sur la hune
.
Bizak
.
Je saurai montrer ta valeur infinie
Je serai celui qui t’aimerait à vie
Contre vents et marées, mon égérie
Mon amour pour toi est considérable
Je prendrai soin de ton jardin paisible
Où ne poussent que les fleurs imaginables
Que Babylone en serait oubliable
Le ciel devrait t’applaudir chaque matin
Belle comme tu es, astre souverain
Resplendissant comme un clair de lune
Telle une majesté, cheveux au vent
Tu sillonnes les mers au gré du beau temps
Pour le plaisir des marins sur la hune
.
Bizak
.
Quel magnifique sonnet, mon cher poète.
RépondreSupprimerJe vibre de ces mots si bien choisis,
comme un écrin splendide
où mes sensations deviendraient
des perles et des diamants.
Sur un fond de velours.
¸¸.•*¨*• ☆
Merci de ce plaisir que tu me donnes quand mes mots te font vibrer! ils retournent vibrant et tout joyeux pour se caler dans mon écrin du coeur tourbillonnant.
SupprimerBisous veloutés
Mon cher Bizak, ce sonnet méritait mieux qu'un seul commentaire...
RépondreSupprimerMais il a été noyé sous le flot d'une sanglante actualité... ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Il a été noyé par les soubresauts des desiderata des uns et des autres. En somme, peu importe qu'il n'y ait pas beaucoup de commentateurs, quand un seul vous apporte déjà du bonheur.
SupprimerAh...bizak...désolée...
Supprimer(mais tu sais que j'avais apprécié ton sonnet)
A défaut de commentateurs, sûr que "le ciel t'a applaudi chaque matin"... ;-)