Faut-il atteindre l’indigo
Des jours de pluie
Et la lumière des nuits sans étoiles
Pour parler de mémoire
Ces infinis fragiles
Des hommes qui affrontent le noir
Et se retiennent de tomber
Là où la mer tresse les souvenirs
Comme on s’amarre malgré la rouille
Aux vagues bleues du souffle majeur
J’entends battre en nous
Le bruit sourd
Du manque et de la douleur
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Superbe !
RépondreSupprimerBeaucoup de gens affrontent le "noir" en ce moment...mais sans doute est-ce pour mieux rencontrer cet infini qu'on oublie trop souvent...
Amicalement.
Merci La Licorne.
RépondreSupprimerDur et doux à la fois
RépondreSupprimerChapeau, Laurence !
j'aime beaucoup.