Dans l’infini rougeoyant de
mes larmes
Une étoile scintille d’un
vert chatoyant
Tel l’œil d’un
félin aux aguets
Au creux d’une nuit sournoise
Cet infime éclat émeraude
orné de parme
Dévoile un mal sans nom
brûlant
Chaque recoin d’une mer sans
reflets
Au cœur de mon âme
turquoise
Sur un navire en bois de charme
Un homme sème pourtant
Sur l’île de mon cœur
des bleuets
Pour chasser ces flammes narquoises
Très émouvant, ce poème qui balance entre chagrin nostalgique et espoir amoureux...
RépondreSupprimerEt tu as vraiment bien su interpréter la consigne des couleurs, je trouve :
c'est magnifique !
Magnifique et sensible !
RépondreSupprimerje n'en dis pas plus sinon je vais copier le commentaire de la Licorne
Merci à vous deux !
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