Certains jours une vaste flemme
(je ne veux pas de maladie)
me transforme en vrai paresseux.
Ma fierté n'est pas refroidie.
Je rêve aux grands monotrèmes
j'entends la jeune mélodie
du vent qui chante vert et bleu
du fond de cette immense flemme
j'entends le bruit de l'eau qui court
je relis ceux qui disaient mieux,
j'entends gronder l'orage lourd.
Écrire un conte ? un poème ?
(l'art est long et le temps est court)
J'attendrai donc encore un peu.
.
.
:-)
RépondreSupprimerTrès personnalisé, le poème !
Et, mine de rien, très réussi...
Livré, en plus, deux jours avant l'échéance...
Pas mal, pour un paresseux !
;-)
Merci ; en avance ? ça m'étonne de moi, ça doit être un effet paradoxal de la flemme !!
Supprimeret merci pour l'illustration, un rien risquée mais tentante :) !
On sent bien la langueur distillée au long de ce texte apaisant.
RépondreSupprimerMerci PhotoNanie :)
SupprimerLémurien à ajouter XD !
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